Vaccins: un biologiste dénonce la désinformation

Vaccinations – Les vérités indésirables

Vidéo publiée le 13 avril 2009 par la chaîne Expovaccins.

Ecoutez Michel Georget faire une analogie entre le gardasil et le distilbène…

Le Distilbène DES, en savoir plus

Distilbène DES 2017 Quatre Générations – Guide Pratique Complet

Les conséquences de l’exposition au DES évoluent pour quatre générations

Les conséquences du DES en 2016 – Guide Pratique Complet.

Suite à l’étude Distilbène 3-4 générations qu’elle a initiée en 2013, l’association Réseau D.E.S. France a mis à jour, juin 2017, un guide pratique pour les professionnels de la santé, synthétisant les données actuelles de la science. Deux versions sont à télécharger:

Le Distilbène DES, en savoir plus

La santé des enfants NON vaccinés – Dr Berthoud

Au-delà de la polémique !

Vidéo publiée le 13 avril 2009 par la chaîne Expovaccins.

  • Françoise Berthoud est médecin, diplômée de l’université de Genève. Comme pédiatre homéopathe, elle proposait une médecine visant à soutenir l’immunité de l’enfant par des moyens naturels et laissait une grande place au dialogue avec les parents. Aujourd’hui à la retraite, elle est membre de plusieurs groupes de réflexion sur les vaccins, se consacre à l’écriture et approfondit sa pensée sur le pouvoir médical, les alternatives à la médecine officielle et la pédagogie de la santé. Elle est l’auteure du livre “La (bonne) santé des enfants non vaccinés.
  • Nos liste de vidéos sur les médicaments et labos.

Guide Pratique Distilbène DES 2017 – Synthèse

Les conséquences de l’exposition au DES évoluent pour les quatre générations

Les conséquences du DES en 2016 – Synthèse.

Suite à l’étude Distilbène 3 générations qu’elle a initiée en 2013, l’association Réseau D.E.S. France a publié, fin 2015, un guide pratique pour les professionnels de la santé, synthétisant les données actuelles de la science. Deux versions sont à télécharger:

Le Distilbène DES, en savoir plus

Vaccins: les dangers de l’aluminium selon le Pr Gherardi

Le Journal – Vaccins : l’aluminium en question

Le Pr. Romain Gherardi, directeur de recherche à l’Inserm et à l’hôpital Henry-Mondor, était l’invité du “Magazine de la santé”, sur France 5, le 12 novembre 2012.

  • Le Professeur Romain Gherardi est spécialiste des maladies neuromusculaires à l’hôpital Henri-Mondor (Créteil) et directeur de l’Unité INSERM U955 E10 de l’Université Paris-Est. Il est l’auteur du livre “Toxic Story.

Health Effects from Endocrine Disrupting Chemicals Cost The U.S.

Yearly Exposure to Chemicals Dangerous to Hormone Function Burdens Americans with Hundreds of Billions in Disease Costs

Reducing chemical exposure could save Americans hundreds of billions of dollars in healthcare costs.

Les dangers de l’aluminium vaccinal

Commentaires du Professeur Romain Gherardi, 2014

Vidéo publiée le 29 août 2014 par Info Vaccins.

Jeudi 22 mai 2014 se tenait à l’Assemblée Nationale un colloque portant sur les dangers de l’aluminium vaccinal.

Le Professeur Romain Gherardi est spécialiste des maladies neuromusculaires à l’hôpital Henri-Mondor (Créteil) et directeur de l’Unité INSERM U955 E10 de l’Université Paris-Est. Il est l’auteur du livre “Toxic Story.

Nos liste de vidéos sur les médicaments et labos.

Estimated 1 455 tonnes of plastic floating in the Mediterranean

Floating plastic debris in the Central and Western Mediterranean Sea

Plastics are among the most commonly used materials and, as a result, plastic waste is found throughout the marine environment. It has been estimated that 4.8–12.7 million tonnes of plastic were released into oceans worldwide in 2010. Plastics can have a number of impacts on marine ecosystems, including entanglement of and ingestion by wildlife, and can accumulate through the food chain. Micro-plastics are particularly harmful to marine animals due to their small size and ability to adsorb other pollutants. Plastics can also have adverse impacts on human health and industry, affecting tourism, fishing and aquaculture.

Science for Environment Policy, European Commission DG Environment News Alert Service, Issue 476, 11 November 2016.

This study examined the size, distribution and abundance of floating plastics within the north-western and central Mediterranean Sea, in accordance with established classifications under the European Union Marine Strategy Framework Directive (MSFD). The Mediterranean Sea has a population of approximately 100 million people living within 10 km of the coastline, giving high potential for plastic accumulation.

Floating plastic debris in the Central and Western Mediterranean Sea, Marine Environmental Research, Volume 120, Pages 136–144, September 2016.

The researchers used a trawl with a mesh size of 333 µm net to collect plastics from the surface of the water across four Mediterranean regional seas (the Sea of Sardinia, the Tyrrhenian Sea, the Ionian Sea and the Adriatic Sea). Plastics were divided into three size categories: microplastics (less than 5 mm), mesoplastics (5–25 mm) and macroplastics (25–1 000 mm).

The plastics were dried and weighed, and for each of the 71 trawls, the researchers recorded the plastic weight concentration in grams of dryweight per square kilometre (g dw km−2) and plastic particle concentration as the number of plastic items per square kilometre (items km−2).

A total of 17 495 items were collected within the trawl samples, including 16 719 microplastics, 691 mesoplastics and 85 macroplastics. Plastics made up almost 97% of the manmade debris found and were in all 71 samples. Weight concentration ranged from 7.43 to 9292.24 g dw km–2 . Particle concentration ranged from 8 999 to 1 164 403 items km−2 . Microplastics with a surface area of around 1 mm2 were the most abundant particle size found.

The highest particle concentration by weight was found in the Gulf of Taranto in the Ionian Sea (9 298.2 g dw km−2) and the highest concentration by particles was found between the Greek Islands of Antipaxi and Lefkada (1 164 403 items km−2). Assuming that the range of concentrations of plastic in the sampled areas is similar across the entire region, the researchers give a rough estimate of 1 455 tonnes of floating plastic within the Mediterranean.

In contrast to other seas, the high variability of surface currents in the Mediterranean means that concentrations of plastic are less stable and less likely to remain in set locations. However, the researchers identified four potential areas of plastic accumulation due to currents and other factors, such as coastal populations, tourism and plastic washing into the sea from rivers. These areas are the Otranto Strait, the northern coast of Sicily, the Ionian Islands and the Menorca Channel.

The study is one of the first large-scale surveys of plastic waste in the Mediterranean. The researchers say that the issue of floating plastic waste is likely to get worse as increases in global plastic production, inadequate waste-management systems and human behaviour all contribute to the problem. Measures to increase social awareness and efforts to reduce the release of plastic waste into the oceans are, therefore, recommended.

Toxic Story

Deux ou trois vérités embarrassantes sur les adjuvants des vaccins

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Romain Gherardi lève le voile sur les adjuvants aluminiques, présents dans de nombreux vaccins.

Depuis quelques années, une défiance croissante envers les vaccins gagne la population. Des rumeurs alarmantes circulent sur leurs effets secondaires… Et les atermoiements des autorités politiques et sanitaires sur la toxicité de certains composants entretiennent l’inquiétude. Soucieux de casser ce cercle vicieux, Romain Gherardi lève le voile sur les principaux suspects : les adjuvants aluminiques, présents dans de nombreux vaccins.

Ce livre raconte son histoire, celle d’un professeur hospitalo-universitaire qui, par le plus grand des hasards, voit apparaître dans les années 1990 une pathologie inconnue. La myofasciite à macrophages, comme il l’a nommée, intrigue le monde de la santé autant qu’elle l’inquiète. Mais dès lors qu’il en a identifié la cause – les adjuvants aluminiques –, Romain Gherardi constate un revirement soudain. Articles scientifiques refusés. Financements taris. Réunions pipées. Le mot “vaccin” lui ferme toutes les portes. Il poursuit pourtant ses recherches, avec d’autant plus de persévérance que la pathologie présente de troublantes ressemblances avec d’autres syndromes jusqu’alors inexpliqués : le syndrome de fatigue chronique et le syndrome de la guerre du Golfe. Mais il a beau renverser les dogmes en vigueur – élimination rapide des adjuvants après la vaccination, innocuité de leur faible dose –, accumuler les éléments nouveaux, les autorités sanitaires et les industriels du vaccin persistent dans le déni, ou instillent le doute sur l’interprétation de ses résultats.
Toxic Story est une enquête scientifique sur les adjuvants et le récit d’un long dessillement : celui d’un médecin-chercheur qui a choisi le parti de la science. Le parti des patients.

Le Professeur Romain Gherardi est spécialiste des maladies neuromusculaires à l’hôpital Henri-Mondor (Créteil) et directeur de l’Unité INSERM U955 E10 de l’Université Paris-Est.

 

Victimes de médicaments : une occasion unique de les reconnaître et de réparer

Créons enfin un véritable fonds ouvert à toutes les victimes d’effets indésirables graves de médicaments!

Communiqué de presse conjoint, actualités Réseau D.E.S. France, 29/08/2016.

Le gouvernement s’apprête à mettre en place un fonds d’indemnisation pour les
victimes de la Dépakine®. Et les autres victimes ?

La secrétaire d’Etat chargée des personnes handicapées et de la lutte contre l’exclusion, madame Ségolène Neuville, a annoncé lundi 7 novembre aux députés que le gouvernement présentera un amendement au projet de loi de finances pour 2017 créant un dispositif d’indemnisation spécial pour les victimes des médicaments à base de valproate (Dépakine et autres).

Nous nous réjouissons des annonces faites sur l’indemnisation des victimes de la Dépakine®.

Mais depuis plusieurs années déjà, les associations de victimes de médicaments, réunies en collectif, dénoncent cette fâcheuse habitude, transmissible de gouvernement en gouvernement, d’indemniser le risque médicamenteux à la petite semaine, médicament par médicament, scandale après scandale. Un peu comme si avant de voter la loi Badinter, on avait testé le principe de l’indemnisation des victimes de la circulation, d’abord sur les piétons accidentés par des voitures Renault, puis Citroën.

Après les victimes du sang contaminé, les victimes professionnelles de la vaccination, les victimes du Médiator, c’est aujourd’hui au tour des victimes de la Dépakine® de faire la une des médias et d’être par conséquent aux yeux du gouvernement éligibles à un fonds d’indemnisation.

Mais pour les victimes non médiatiques des médicaments, comme par exemple les victimes du Distilbène® dont les conséquences se font sentir aujourd’hui jusqu’à la 3e génération, ou les victimes des syndromes de Lyell et de Stevens-Johnson, dont les survivants doivent faire face à de terribles (et coûteuses) séquelles, elles peuvent bien continuer à saisir la justice et à se battre, seules, pendant des années, contre les grandes firmes pharmaceutiques. Et l’action de groupe votée en janvier dernier ne changera pas fondamentalement cette situation.

Les associations du collectif des victimes du médicament, par solidarité, se réjouissent pour les catégories de victimes qui obtiennent réparation, mais en appellent, aujourd’hui à Madame la Secrétaire d’Etat aux victimes, pour qu’elle se saisisse de cette discrimination cynique, méprisante et devenue inacceptable qui ne réserve la qualité de victimes qu’à la condition que la presse s’en fasse l’écho.

Il manque une seule chose pour qu’un tel fonds existe : une volonté politique.

Organisations signataires

  • Le Collectif de Lutte contre les Affections Iatrogènes Médicamenteuses (CLAIM) est un collectif dont l’objectif est de défendre le droit des victimes d’effets indésirables graves des médicaments. Il représente 5 associations touchées par des effets indésirables des médicaments :
    • AIVQ (Victimes des Quinolones)
    • AMALYSTE (syndromes de Lyell et Stevens-Johnson)
    • AVRG (Roaccutane° et Génériques)
    • E3M (Myofasciite à Macrophages)
    • REVAHB (Réseau Vaccin Hépatite B).
  • La FNATH est l’association de défense de tous les accidentés de la vie, des malades, invalides et handicapés. Elle est à but non lucratif et reconnue d’utilité publique. Forte de ses près de 200.000 adhérents et de leur solidarité, l’association lutte au quotidien pour améliorer la vie des accidentés, des handicapés, des malades, et pour qu’ils soient reconnus et traités en citoyens à part entière. La FNATH les représente dans les commissions locales, les organismes sociaux et institutions départementales et régionales.
  • Le Collectif Europe et Médicament (Medicines in Europe Forum, MiEF), créé en mars 2002, est composé des quatre grandes familles des acteurs de la santé : associations de malades, organisations familiales et de consommateurs, organismes d’assurance maladie solidaires et organisations de professionnels de santé.
  • Le Collectif interassociatif sur la santé (CISS), créé en 1996, regroupe plus de 40 associations intervenant dans le champ de la santé à partir des approches complémentaires de personnes malades et handicapées, de personnes âgées et retraitées, de consommateurs et de familles.
  • CADUS, Conseil Aide et Défense des Usagers de la Santé. L’association participe à l’information des victimes des accidents médicaux et de leurs proches, et leur apporte toute l’aide que l’association peut leur offrir. Elle assure la défense et les intérêts des usagers du système de santé d’une affection iatrogène ou d’un aléa thérapeutique. L’association a soutenu les patients victimes d’effets secondaires dans le traitement de la maladie de Parkinson, ayant conduit à la condamnation du laboratoire pour ne pas avoir informé ces patients.
  • L’Association Les Filles DES informe, soutient, et accompagne toutes les victimes du Distilbène° et du Stilboestrol notamment dans leurs procédures judiciaires pour faire reconnaitre la responsabilité des laboratoires et le caractère inadapté de la Justice.
  • Le Réseau D.E.S. France, adhérent de la FNATH, informe et soutient les personnes concernées par le Distilbène® (DES), prescrit à 200 000 femmes enceintes pour prévenir les fausses couches. 160 000 enfants sont nés de ces grossesses. Les conséquences touchent 3 générations ; pour les filles exposées in utero, elles peuvent être : stérilité, fausses couches, prématurité, cancers. Réseau D.E.S. France coopère avec différentes instances pour améliorer la prise en charge des “filles DES”.
  • L’APESAC, l’Association d’Aide aux Parents d’Enfants souffrant du Syndrome de l’Anti-Convulsivant, créée en 2011, a pour objectifs de faire connaître et reconnaître l’embryofœtopathie à l’acide valproique (effets indésirables dus à une exposition in utero aux traitements antiépileptiques pris par la mère pendant la grossesse), d’informer les familles et les femmes afin qu’elles puissent agir en connaissance de cause, d’aider au diagnostic des enfants touchés auprès de centres de référence, de soutenir les familles.
  • AMALYSTE, membre du CLAIM, est l’association des victimes des syndromes de Lyell et de Stevens-Johnson. Ces syndromes sont des réactions indésirables gravissimes aux médicaments. Ils sont le plus souvent connus et acceptés en raison de leur extrême rareté. Parce que ce risque est accepté au titre d’une balance bénéfices-risques estimée positive, les victimes ne peuvent que rarement accéder à l’indemnisation. En tant que maladie rare, la prise en charge est à ce jour encore balbutiante. AMALYSTE a pour objet de questionner les pouvoirs publics, l’industrie pharmaceutique, le corps médical et le grand public sur la responsabilité liée au risque connu et accepté d’accidents médicamenteux rares et graves.
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